Le chanteur Winston McCall déclare à Kerrang! :
Le masque que je porte ne peut pas rester dans l’obscurité.
Le leader a-t-il vraiment eu l’impression de devoir porter un masque à certains moments au cours des dernières années, tout au long des épreuves à surmonter ?
Oh oui, bien sûr, admet le frontman.
Et c'est quelque chose qui s'est imposé, dans une certaine mesure. Je suis une personne heureuse et je vis dans un endroit fantastique, et je joue dans un groupe que j'aime beaucoup et je peux faire des choses géniales, mais cela dit, entre [l'album précédent] Ire, et maintenant, nous sommes passés par ce processus incroyable de création d’un disque. Il a été incroyablement bien reçu, mais c’était aussi la première chose qui à créer une source de division. Et, au même moment, pendant que tout se passait, tout autre chose se passait dans les coulisses. Il était très difficile de juste exister, de le dire ainsi. Je ne vais pas dire que d’exister "honnêtement", mais de pouvoir exister sans succomber à l’instinct de base pour s’attaquer à quelque chose. Pour s'en prendre à quelqu'un, ou pour s'en prendre à cause d'un événement, ou de quelque chose du genre. C'est un défi. Cela demande beaucoup d’introspection, de réflexion et de confiance en vous-même, tout comme un être humain sain d’esprit, et non pas simplement en un instant. Cela fait très longtemps que ça marche sur un point de rupture. Je pense que les gens tiennent pour acquis que je suis le «bon gars» qui va sourire et que je prends ça fondamentalement, en gros (rires).
Le groupe jouera le 4 février prochain à L'Olympia de Paris, avec Killswitch Engage et Thy Art Is Murder en premières parties.
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