Aux yeux de certains
cela pouvait paraître ambitieux d’enchaîner trois jours de Download à Paris
avec deux jours de Longlive Rockfest à Lyon. Et pourtant, nous ne regrettons
pas une seconde d’avoir laissé tomber le sommeil réparateur au profit de ces
deux journées qui méritaient amplement – et le mot est faible – le déplacement.
Habituellement
programmé mi-mai au Transbordeur de Lyon, le jeune Longlive Rockfest était
cette année prévu pour les 12 et 13 juin… soit un lundi et un mardi ! De
quoi décontenancer les festivaliers aguerris. C’est vrai que c’était un pari
plutôt risqué, ces dates nécessitant pour la plupart des gens de poser deux
jours de congé, mais se trouvant aussi pour les lycéens très proches du bac ou
des examens de fin d’année pour les étudiants qui n’étaient pas encore en
vacances…
Sans parler,
évidemment, des autres festivals du mois de juin : à Paris, nous avons le
Download du 9 au 11, à Clisson, le Hellfest se prépare pour ouvrir ses portes
le jeudi 16, et les Novarock et autres Graspop qui ont lieu en même temps et
seront privilégiés par les frontaliers.
Néanmoins, c’est une
bonne surprise qui nous attend lorsqu’on arrive devant le Transbordeur lundi
après-midi : devant les portes, quelques dizaines de fans patientent déjà
sous un cagnard assommant. Dans les deux scènes du complexe lyonnais, les
groupes et techniciens terminent les répétitions et derniers réglages. Sur le
Rock Market en extérieur, les merch guys – et merch girls – s’activent pour
fignoler leurs stands. Le food truck se met en place, les DJs aussi, les
transats sont déjà prêts à accueillir les premières fesses fatiguées.
D’emblée, on sent
cette ambiance « colonie de vacances » version rock (donc en mieux),
et le soleil est lui aussi de la partie. Toutes les conditions semblent réunies
pour que nous ayons droit à deux journées exceptionnelles – petit
spoiler : ce fut le cas, et on vous raconte de suite la première journée
de ce festival lyonnais.
Les portes ouvrent à
17 heures et les nombreux fans qui se sont amassés devant les portes entrent au
compte-goutte pour découvrir l’environnement dans lequel ils vont évoluer au
cours des prochaines heures ou pour les deux prochains jours. On prend
connaissance des horaires des séances de dédicaces organisées sous la tente
Monster Energy, on jette un œil au merch des différents groupes, on file
directement au bar ou au premier rang de la Clubstage ; les programmes
diffèrent, mais tout le monde semble se sentir bien ici. En plus, le soleil est
de la partie, alors que demander de plus ?
Pour nous, la journée
commence avec des interviews d’As It Is et Issues – que vous retrouverez bien
vite sur Alternativ News –, profitant des derniers instants de calme avant de
partir dans un infernal tourbillon entre les deux scènes du festival. Car il
est hors de question de louper un seul des huit groupes qui se produiront en
cette fin de journée !
Le premier à
monter sur la petite scène est Whist, une formation lyonnaise menée par une
fille au chant (elle sera la seule des deux jours, il faut donc le souligner),
qui a attiré son public d’ami et de fidèles. Alors qu’on ne les attendait pas
forcément au tournant, c’est une agréable surprise de voir que l’ambiance est
au rendez-vous dès le coup d’envoi.
Certains festivaliers
manquent cependant à l’appel – à l’extérieur, le soleil chauffe toujours, et entre
ceux qui profitent de ce beau temps pour boire quelques bières et ceux qui font
la queue pour la séance de dédicaces de Crown The Empire, il ne reste plus
énormément de monde… Ce qui n’empêche pas à Whist d’assurer le show !
Ce sont ensuite les Anglais de ROAM qui sont de retour sur la scène sur laquelle ils avaient déjà joué l’année dernière. Ils n’ont pas perdu de leur énergie, qui ne manque pas de contaminer toute la salle. Le public français commence à les connaître maintenant, et l’affluence des spectateurs prouve bien que le groupe est très apprécié ici.
Comme à son habitude, le chanteur Alex Costello ne cesse de bondir d’un bout à l’autre de la scène, infatigable, ce qui suffit presque à faire le spectacle. Les festivaliers se sont amassés dans la fosse, mais d’autres restent perchés sur les balcons et dans les escaliers, ne perdant pas une miette du concert.
Le set d’une
demi-heure passe à une vitesse folle et il est très – trop – vite temps de dire
au revoir à ces Britanniques. Le temps de passer rapidement du côté du Rock
Market, qui ressemble un peu à une fourmilière : entre les festivaliers
qui dansent ou se prélassent dans des transats au coin DJ, ceux qui se font
tirer le portrait au photobooth du festival, ceux qui errent du côté des stands
ou du foodtruck et ceux qui font la file pour la prochaine séance de dédicaces,
ça fait pas mal de monde !
Les Américains
d’Issues prennent place à leur tour sous la tente Monster. Ils ont devant eux
une longue file de fans, très impatients de rencontrer leurs idoles, qui se
font plutôt rares en France. Mais pas le temps de nous éterniser ici – de toute
façon, nous les retrouverons bien vite sur la Mainstage.
Nous retournons plutôt du côté de la petite salle, pour tenir compagnie aux Britanniques d’As It Is. Nous les avions vus en compagnie de State Champs à la Boule Noire en février dernier, et avions hâte de retrouver le dynamisme rafraîchissant de ce jeune groupe.
Menée par Patty
Walters, la formation nous prouve dès les premiers instants que nous avions
raison de nous impatienter. Non seulement la performance live est bonne, mais
la bonne humeur qui émane des musiciens est communicative et semble conquérir
l’ensemble du public lyonnais.
La bonne surprise,
c’est que même s’il y a du monde à l’extérieur, la salle est bien pleine aussi
et le public, quand nous arrivons, est déjà pas mal à fond !
Le groupe présente un
certain nombre de chansons extraites de son dernier album en date, Okay., sorti
en janvier de cette année, mais ne délaisse pas les morceaux qui ont fait sa
gloire, comme l’incontournable "Dial Tones" qui est repris en chœur par toute la
foule.
Même si les portes de
la grande salle ont ouvert pour que les premiers festivaliers puissent
s’installer face à la Mainstage, la Clubstage n’est pas délaissée pour autant.
L’ambiance pop-punk amenée par As It Is semble convaincre le plus grand nombre,
et le sourire contagieux de Patty Walters nous incite à rester.
Le set vaut
assurément le détour, tous les spectateurs semblent en être conscients et ne
rechignent pas à répondre aux sollicitations des musiciens. C’est un chouette
moment, qui nous conforte dans l’idée qu’As It Is fait partie de ces groupes
que l’on ne se lassera sans doute jamais de voir sur scène.
Seul petit bémol ? Les lumières de cette Clubstage, quasi-inexistantes – mais ce n’est en aucun cas dû au groupe, c’était déjà le gros et quasi-seul point négatif de l’édition de l’année passée, et cela le restera sur les deux jours de cette troisième édition du Longlive… C’est bien dommage car c’est vrai que ça gâche un peu le spectacle, mais soyons honnêtes : si c’est là le seul point négatif que nous trouvons à relever, ça veut dire que le festival est sacrément exceptionnel !
Seul petit bémol ? Les lumières de cette Clubstage, quasi-inexistantes – mais ce n’est en aucun cas dû au groupe, c’était déjà le gros et quasi-seul point négatif de l’édition de l’année passée, et cela le restera sur les deux jours de cette troisième édition du Longlive… C’est bien dommage car c’est vrai que ça gâche un peu le spectacle, mais soyons honnêtes : si c’est là le seul point négatif que nous trouvons à relever, ça veut dire que le festival est sacrément exceptionnel !
Mais à la fin du set, alors que le groupe étiqueté Fearless Records quitte la petite scène sous des acclamations enthousiastes, les gens ne s’attardent pas trop et filent vers la grande salle, où Issues viennent de faire leur apparition quelques minutes plus tôt. Nous ne loupons qu’un titre, mais au moment où nous arrivons la sauce semble avoir déjà bien pris, et même si la salle n’est pas comble, l’ambiance est au rendez-vous.
Tyler Carter prouve une nouvelle fois qu’il sait motiver ses troupes, et les fans prouvent quant à eux que le pop-punk est une sorte de grande famille où tout le monde soutient tout le monde. On sent que les premiers rangs sont de fins connaisseurs de la formation américaine, beaucoup reprennent les paroles en chœur tandis que d’autres, plus loin derrière, lancent timidement les premiers circle pits.
Le public français
réagit beaucoup aux tubes tels que "Never Lose Your Flames" ou le culte "Hooligans", qui vient clôturer le show, bien trop court pour beaucoup des fans
présents ici. Certains (on le sait de source sûre) ont même fait le déplacement
de Paris à Lyon rien que pour eux. Alors huit titres, c’est clair que c’est
peu, mais c’est plutôt de bon augure pour l’avenir du groupe sur nos
terres !
Petit sprint obligatoire
pour rejoindre ensuite, au plus vite, la Clubstage sur laquelle Crown The Empire vient de prendre
place. On les a peut-être vus la veille au Download, à Paris, mais c’est pas
une raison pour traîner.
Le set est le même,
on commence avec "Zero", et on remarque soudain que la salle est comble. Encore
une fois, les gens s’entassent même en hauteur, sur les escaliers, les balcons,
et chantent en chœur avec Andy Leo, désormais seul chanteur du groupe depuis le
départ de Dave Escamilla quelques mois auparavant. Et même à quatre, les
musiciens assurent le show, Brandon Hoover et Hayden Tree prenant parfois le
relais au micro pour des screams ou des chœurs. Derrière les fûts, Brent Taddie
est une valeur sûre et n’hésite pas à se lever pour motiver les troupes,
refusant d’être laissé pour compte à l’arrière de la scène.
Ça prend bien, le
public répond de façon très positive aux nouveaux morceaux du groupe, qui
délaisse peu à peu les chansons les plus anciennes au grand dam des fans de la
première heure. Ainsi, "Aftermath" ou "Hologram" font remuer la foule, même si
seuls les fans les plus avertis peuvent se targuer de connaître les paroles par
cœur.
En revanche, si le
public assure quasiment tout du long, on a un petit reproche à lui
adresser : quand les Américains demandent gentiment si quelqu’un veut bien
chercher des shots et crowdsurfer jusqu’à eux pour leur ramener sur scène, il
faut se dévouer et aller les abreuver – c’est là que l’on reconnaît les fans
qui se soucient du bien-être de leur groupe préféré !
C’est l’une des
chansons-phares du groupe qui vient conclure ce set : "Machines" est
acclamée par toute la salle, et on sent que beaucoup de festivaliers se
laissent convaincre de rester ici quelques instants supplémentaires, quitte à
louper les premiers instants du prochain groupe à monter sur la Mainstage.
Nous aussi,
d’ailleurs, on restera jusqu’aux dernières secondes du set, pouvant ainsi
observer que les fans les plus dévoués ne décampent pas et réclament médiators,
baguettes et setlists pour agrandir leur collection. Les membres de Crown The
Empire quittent la scène à bout de souffle mais ravis… et foncent sur les shots
tant attendus !
Retour illico du côté de la MainStage, où on ne rate presque rien du set de Sleeping With Sirens. Une interview du groupe, réalisée environ une heure avant qu’il ne monte sur scène, sera là encore bientôt disponible sur notre site !
Nous le disions dans notre live report du concert de Good Charlotte où le groupe jouait en support : Sleeping With Sirens, c’est LE groupe qui divise les foules. S’ils ont des fans ultra-dévoués – on en repère d’ailleurs un paquet portant du merch à l’effigie du groupe – ils ont aussi un bon nombre de détracteurs, qui focalisent notamment leurs critiques sur la voix de Kellin Quinn.
Alors certes, le frontman à l’éternel look emo a une voix particulière, qui ne rend pas toujours parfaitement bien en live (c’est l’jeu ma pauvre Lucette), mais si mon humble point de vue vous importe, je trouve qu’il ne mérite pas tout l’acharnement dont il est trop souvent la cible. Surtout que ce soir, il assure, et le public le lui rend bien !
Jonglant entre de
nouveaux morceaux et de plus anciens, le groupe permet aussi bien aux fans
qu’aux vagues connaisseurs de s’éclater. Et quand, pour couronner le tout,
Kellin annonce que le prochain album du groupe est bouclé, c’est forcément
l’euphorie !
"If You Can’t Hang" et "Congratulations" sont parfaits pour donner le coup d’envoi du set et donner le
ton de ce qui va suivre. On part ensuite sur un petit run de nouvelles chansons
avec "Better Off Dead", "Go Go Go", "We Like It Loud" et "The Strays". Il y a pas mal
de mouvement autant sur scène que dans le pit, les musiciens ne cachent pas
leur plaisir de trouver face à eux un public français réactif et participatif.
Bien sûr, le groupe
ne pourrait pas nous quitter sans "If I’m James Dean, You’re Audrey Hepburn". Le
set se conclue sur "Kick Me", et nous quittons la salle en même temps que les
musiciens quittent la scène sous une salve d’applaudissements. La soirée
avance, mais on n’a pas encore fini de courir !
Retour du côté de la Clubstage pour accueillir State Champs, que nous avions aussi pu voir en compagnie de Good Charlotte et Sleeping With Sirens la semaine d’avant, au Bataclan. Si la setlist reste la même, encore une fois, on prend toujours un sacré plaisir à retrouver le dynamisme de la formation new-yorkaise.
Au chant, Derek
DiScanio semble infatigable, à l’image des autres frontmen pop-punk de la
journée. Il ne nous laisse que très peu de temps pour souffler entre deux
morceaux, et se permet même de mettre des petits coups de pression au
public : State Champs étant le groupe « tête d’affiche » de la
petite scène, il insiste pour que les fans donnent le meilleur d’eux-mêmes.
Mission relevée avec grand succès, d’ailleurs. Certains fans prouvent même qu’ils connaissent déjà par cœur les derniers morceaux en date du groupe, faisant sourire les musiciens. Comme à son habitude, Derek est excellent en live. En plus des nouvelles chansons, nous avons bien sûr droit aux désormais classiques "All You Are Is History", "Secrets" ou "Elevated". Chacune d’elles remporte un franc succès auprès des fans.
Et pour la dernière
fois de la journée, on regrettera encore le manque de lumière qui nous empêche
de profiter du spectacle autant qu’on l’aimerait. Y a rien à dire, ça nous
change des scènes en plein air du Warped Tour !
Pour clôturer cette
première et éreintante journée du Longlive Rockfest, nous quittons State Champs
un peu avant la fin de leur set pour rejoindre la grande salle du Transbordeur,
dans laquelle patientent déjà un grand nombre de fans. A peine le temps de nous
poser en hauteur, du côté du bar Jägermeister, que les lumières s’éteignent à
nouveau. Les hurlements fusent, et les quatre membres de Pierce The Veil font
leur apparition sur scène.
Pas le temps de commencer à les acclamer qu’on se prend déjà une première salve de confettis en pleine face alors que "Texas Is Forever" est lancé. La formation originaire de San Diego jongle parfaitement entre les morceaux les plus récents – un peu moins connus par la foule – et les valeurs sûres telles que "Bulls In The Bronx" ou "A Match Into Water".
Entre deux titres, Vic Fuentes prend souvent le temps de s’adresser au public lyonnais, et les sourires des musiciens en disent long : ils sont tout aussi heureux d’être sur scène que leurs fans le sont de les voir ! Si les premiers rangs semblent immobiles, le regard rivé sur les Californiens, vers l’arrière ça bouge beaucoup, certains n’hésitant pas à crowdsurfer. Le chanteur lui-même s’octroie un petit bain de foule, qui ne manque pas de faire grimper - encore un peu plus - l'enthousiasme des fans des premiers rangs.
L’excellent morceau
"Dive In" fait des ravages, et enchaîner avec "Caraphernelia" met littéralement les
fans dans un état de transe. Comme d’habitude, Pierce The Veil sont très bons
aussi bien techniquement que scéniquement.
Même s’ils ne sont que quatre sur cette grande Mainstage, ils occupent tout l’espace ; véritables boules d’énergie, Tony et Jaime ne cessent d’intervertir leurs places, et Vic gambade lui aussi de tous les côtés, allant régulièrement vers l’arrière pour s’assurer que son « petit » frère Mike, derrière les fûts, s’éclate autant qu’eux.
Même s’ils ne sont que quatre sur cette grande Mainstage, ils occupent tout l’espace ; véritables boules d’énergie, Tony et Jaime ne cessent d’intervertir leurs places, et Vic gambade lui aussi de tous les côtés, allant régulièrement vers l’arrière pour s’assurer que son « petit » frère Mike, derrière les fûts, s’éclate autant qu’eux.
Ce qui ne fait aucun
doute, car même si sa mobilité est forcément réduite, le batteur est lui aussi
une bête de scène. Grandement inspiré de Travis Barker, son jeu est impeccable
et joue énormément dans la dynamique du groupe.
On tourne la tête une seconde et voilà que, quand on regarde à nouveau la scène, Vic a disparu. Il ne nous faut pas longtemps pour le repérer : provoquant des hurlements stridents dans les premiers rangs, il réapparaît porté par les fans. Après ce bain de foule acrobatique, il bondit à nouveau sur scène pour la dernière ligne droite de ce dernier show de la journée : "Circles", d’abord, puis le tube "King For A Day".
Et là, petit bonus « surprise » : Kellin Quinn, vêtu d’un t-shirt Pierce The Veil, vient rejoindre le groupe sur scène ! Le chanteur de Sleeping With Sirens nous avait plus tôt dans la journée avoué « ne pas pouvoir se trouver dans la même salle que Pierce The Veil sans chanter avec eux sur ce morceau ». Et c’est tant mieux !
Les deux chanteurs sont de toute évidence ravis de partager ce moment, et en live, ce featuring est encore plus puissant que dans sa version studio. Pour couronner le tout et clôturer à la fois le set et la journée en beauté, nous avons droit à une nouvelle pluie de confettis multicolores. Des sourires sont figés sur tous les visages autour de nous alors que Kellin, puis Pierce The Veil quittent la scène après de multiples salutations.
Ces sourires en disent long, ils sont sur nos visages aussi. La première journée de festival est finie, j’ai passé mon temps à cavaler d’une scène à l’autre, à enchaîner les interviews et à préparer celles du lendemain, je pourrais dire qu’enfin « je peux respirer », pourtant j’ai l’impression que cette journée était elle-même une bonne bouffée d’air frais.
Le pop-punk a, en
effet, ce côté léger, rafraîchissant et estival ; si, en plus, la météo et
la bonne ambiance sont au rendez-vous comme elles l’ont été aujourd’hui, on
peut assurément parler d’un combo gagnant. Rien à redire – ou si peu, coucou la
luminosité de la Clubstage – sur cette excellente première journée. Je
signerais sans l’ombre d’une hésitation pour la revivre à l’identique.
Mais pour le moment,
il est l’heure pour nous de remballer nos affaires (après avoir pris le temps
de boire un dernier verre ou deux), de quitter les lieux pour la nuit. Pas pour
nous reposer, cela dit : les festivaliers et les organisateurs autant que
les groupes ont rendez-vous à l’Ayers Rock Boat pour l’afterparty officielle du
Longlive Rockfest ! Ce qui veut dire que le « repos bien mérité »,
c’est pas pour tout de suite…
Encore merci à Ninon et à toute l'équipe d'Alternative Live pour cette organisation du tonnerre, et à tous les bénévoles pour leur super travail tout au long du week-end !
Texte : Laurie B.
Photos : Mathilde M.
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