Malgré ce nom et cette pochette de rappeur à deux balles, Casey Jones officie dans le hardcore des familles. Le hardcore straight edge même. Originellement un side-project de Josh James (Evergreen Terrace), les Jones jouent vite - 10 titres en 24 minutes - et fort. Pas de place pour les âmes sensibles, ça hurle à tout va et le rythme ne ralentit pas sauf pour le dernier titre éponyme, petite perle de cette album qui sera le dernier cadeau de la bande, celle-ci ayant décidé de se séparer après une tournée finale. C'est bien dommage, car si cet album ne prime pas pour son originalité, il n'en est pas moins d'une redoutable efficacité.
7/10
Recommandé si vous aimez : le straight edge, le hardcore en général.
Benoît D.
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